Les bénévoles sont souvent qualifiés de «ciment de la société». Vu dans cette optique, le bénévolat présente un formidable potentiel de contribution à l’intégration des immigrés nouvellement installés. La plupart des études sur le travail bénévole se focalisent sur le bénévolat formel, c’est-à-dire sur les engagements exercés dans un cadre organisé tel qu’une association ou une organisation socio-caritative. Mais on connaît encore mal l’impact du bénévolat informelau sens d’une activité exercée librement, en dehors d’un cadre formel organisé.

L’étude avait pour objectifs de montrer l’étendue du travail bénévole informel et son apport à l’intégration des immigrés ainsi que d’ébaucher des mesures pour permettre aux institutions publiques et privées de renforcer le travail bénévole informel dans le domaine de l’encouragement de l’intégration. L’étude s’est appuyée sur une analyse de la littérature existante, sur des entretiens avec des chercheurs et des praticiens dans le domaine du bénévolat et de l’encouragement de l’intégration, sur des entretiens avec des «tandems» constitués d’immigrés nouvellement installés et de leurs accompagnants et sur des groupes de réflexion avec des représentants d’organisations publiques et privées. L’étude a été réalisée grâce au financement de la Société suisse d’utilité publique (SSUP), le Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM) et le Pour-cent culturel Migros.


Prestation(s)
Thèmes
Mandant(s)

Société suisse d’utilisé publique (SSUP), (SEM), Pour-cent culturel Migros

Contact
Kristin Thorshaug

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